Samedi 26 juin... la plus grosse journée pour les forces de l'ordre qui s'étaient donné comme objectif de contrôler les manifestants et émeutiers au G20 à Toronto. Dans une immense foule de plusieurs milliers de personnes manifestant pacifiquement et revendiquant plus de justice s'étaient glissés quelques moutons noir ayant décider de s'affirmer violemment. Vitres cassés, vandalisme, voiture de police réduite en cendres, autant de gestes qui faisaient penser aux émeutes de 1992 à la sortie du concert de Métallica et Guns'n'Roses au Stade Olympique. Malgré cette pression de la foule, jamais le périmètre de sécurité érigé par les forces de l'ordre n'a été vaincu. On se souviendra  du Sommet des Amériques à Québec en 2001 où les manifestants avaient réussi à faire tomber la grille qui les séparait de la zone protégée.

Dimanche 27 juin... on rapporte plusieurs arrestations, près de 900, dit-on, et dans ce cortège de manifestants disséminés se glissent même... des journalistes !

Lundi 28 juin... il parait que des mères inquiètes, réclamant auprès des corps policiers de savoir où est passée leur progéniture arrêtée par erreur la journée précédente, n'ont pas de réponse. Les autorités, dépassées par l'importance de leur cueillette, l'ignorent encore...